Wednesday, December 27, 2006

Revision at university of Mauritius


well tht me at the university cafetaria revising HCI (Human computer interaction)..what a nice module that was...mais bon... had loads to revise..

Tuesday, October 31, 2006

mon cousin Ashley...

Aujourd’hui le 31 octobre 2006

Ashley mon cousin de 19 ans étudiant en médicine, n’est plus…
C’est en descendant l’escalier que ma mère m’appris la mauvaise nouvelle. Jamais avais-je pensais que sa maladie le prendra un jour…Suis très triste .et j’ai pleuré.car c’était un mon cousin préféré.. Nous avons joué ensemble. Il était fort en caroom. Dans les études .il était douée… 39eme en CPE, 19eme en HSE..et il avais obtenu une bourse au SSR médical collège de Belle Rive..

J’ai porté son cercueil…je le ai vu brûlée…et cette fumée noir…qui partait dans les airs à cipaye brûlée vallée des prêtres…j’étais en face de mon oncle..je pouvais voir dans ses yeux.que c’était un homme ameurtri et blessé dans sa chair..

Pendant que je portais son cercueil, je pouvais imaginé la souffrance de mon cousin..(eta cousin kifaire to ine allé ??) je pouvais voir ses yeux blanche..la vie a ete injuste avec lui.. il n’avais fait rien de mal.. il étudiait…simplement…19 ans imagine.. il n’a jamais profité de la vie.. et dire que mon cousin Ashley lui aussi avait des reves..devenir médecin un jour…

La nuit precedant lors de ma meditation,, j’ai senti une vibration.. Je ne savais pas la signification de cette vibration.. mais maintenat je sais.. en moins d’une heure apres ma meditation..Ashley est décédé…

Cette vibration était l’annonce du départ de mon cousin.

Dieu existe..elle sais ce qu’elle fait…O mon amie , tu te reconnaîtra si tu lis cela…Dieu existe..Si mon cousin est parti, c’est que sa mission sur cette terre est terminée…Mon cousin n’est pas ce cadavre qu’on a brûlé aujourd’hui.. mais cette âme qui était a l’intérieur de lui..et qui est parti.. L’âme ne meurt jamais..elle est simplement libéré au moment de la mort…

Pour toi Ashley….

Je ne t’oublierai jamais

vinay

Sunday, October 29, 2006

un esprit était venu

Le dimanche 22 octobre 2006 vers les 2 heures du matin, j’entendis un bruit. Mon sommeil se cassa. J’entendis un bruit comme si une fille murmurait dans la chambre d’ordinateur. Je dois vous signaler que je dors seule a l’étage. En entendant ce bruit, comme –ci quelqu’un parlait au téléphone. Tout de suite je croyais que c’était ma sœur karishma, je précise que c’était comme –ci quelqu’une parlait ou plus exactement comme-ci quelqu’une pleurnichait.
Je tendis mon oreille et ma pensée vers la source de ce bruit atypique et mystérieuse a cette heure la. Il faisait en plus un peu plus froid cette nuit la, et la pluie tombait, on pouvait y entendre.

Ma logique me disait que la source était à coté de la fenêtre de la chambre d’ordinateur.
Je commençais à avoir très peur. Immédiatement, je récitais le mantra de Krishna et soudain je n’entendis plus rien, comme ci la source s’était disparu et c’était a ce moment précise que je réalisai que c’était un « esprit », car soudain, j’entendis les chiens pleurer plus loin pendant un moment avant de s’arrêter..


Qui était cet esprit ? Pourquoi- je entendis ? Pourquoi moi ? Toutes ces questions m’hantent le cerveau.
Mais ce qui est vrai, c’est que cette nuit la il y avait bel et bien quelque chose a l’extérieur (un esprit, une diable, une sorcière.)
L’essentiel, c’est que j’avais l’intention de me lever du lit et d’aller voir, heureusement pour moi car ça aurait était une grave erreur, car il ne faut jamais (oui JAMAIS) aller voir même ci cette esprit vous appelle par votre nom


Vinay (29/10/2006 22:17:42)

Saturday, October 14, 2006

Chronologie de ma vie 1999


L’année de 1999, était une année pas comme les autres. Bien entendu je rentrai en forme 4.Comme j’avais choisi de faire L’économie, la comptabilité et les Mathématique comme matières principale, Nous étions séparé par ordre de matière choisi. C’est donc avec beaucoup de peine et chagrin que les inséparables amis furent séparer .En classe , je travaillé bien. J’aimais beaucoup Accounts parce que mon prof était quelqu’un de gentille et travailleur. J’aimais aussi L’économie, mais comparer a Mme Chan – mon prof d’account, Mons Burtun , mon prof d’économie était un grand paresseux. Il venait en classe, et disait qu’il allait travailler durant qu’une période (nous en avions deux par jour) Il fumait, en autorisant deux élèves de surveiller si le recteur ou quelqu’un passe dans les environs. Alors profitant, il fumait sa cigarette, ignorant complètement qu’il y a des élèves qui ne supportent pas la fumé d’une cigarette ou simplement qui étaient allergique. Comme si ça ne suffisait pas, il apportait son coupon Vernon en classe. Il vantait toujours qu’il gagnait des sommes colossaux en pool. Il apportait même ses reçus en classe pour monter ses fortunes. Nous lui avons déjà dit : « Puisse –que vous gagniez beaucoup d’argent (par millions) dans des jeux telles que couse hippiques, Vernon etc.… pourquoi ne pas arrêter de travailler, jouez toute votre temps ». (D’ailleurs, il ne travaillait que très rarement)
Il n’avait jamais réponse à cette question.
Tout le monde qui a fait de économie au Shrimati Indira Gandhi, sait que Burtun ne travaille pas, qu’il fume et qu’il restera au collège juste qu’au jour qu’il pourrisse. Il a déjà bâti sa mauvaise réputation à Quartier militaire. Aujourd’hui mes amis de collège me disent que Burtun n’a pas changé de langue. Il parle toujours de ses millions gagner dans divers jeux. Enfin comme dit le proverbe : « La queue d’un chien ne vient jamais droite »

1999, fut l’année ou l’image de Maurice fut terni par les émeutes de février. C’était la mort de Kaya qui mit feu à la poudre. Les circonstances de sa mort étaient mystérieuses, car il est mort en cellule policière. Tout les mauricien savent que Kaya le chanteur consommait du ganja. Il fut incarcéré pour cette raison d’ailleurs car le ganja est interdite à Maurice

Chronologie de ma vie 1998

Je rentre en forme 3. Cette année là, plusieurs événements passèrent. Je fus victimes de plusieurs retenues après les heures de classes. Le premier, j’écope de 2 samedis matin. Les pions me firent nettoyé les classes et les toilettes.
J’eus ces deux samedis de retenues parce que nous étions pris en fragrant délit de nous sauver du collège. Nous n’aimions pas la classe de Hindi. Mais malheureusement pour nous un pion nous vîmes et il passa immédiatement un avis de recherche en passant le registre dans les classes.
Le deuxième retenu, que j’eus, c’était pas mérité du tout, j’étais innocent. Les autres avaient jeté un morceau de papier sur Athiana par la fenêtre depuis la classe de Art du troisième étage et immédiatement ils se sont sauvés. Sans me soucier du coup, j’étais près de la fenêtre par hasard et Mons Athiana me vit du bas croyant que c’était moi. C’est ainsi que je fus pris.
Durant cette année la même, C’était un mercredi après midi vers les treize heures. Comme d’habitude, nous étions sauvés de la classe de hindi. Comme nous nous efforcions de trouver un refuge de gauche à droite ; nous courons dans tout les sens cherchant une classe libre pour nous cachés. Mais en descendant l’escalier a vive allure, nous tombons sur qui … devinez ? Et bien, nous tombons tous nez à nez avec le Député Directeur du collège – un vrai dur !!!
Nous étions stupéfait. Ne sachant quoi faire. Cette fois nous nous sommes vraiment fait prendre. C’était parait- t-il la fin. Mais ne sachant de quel Dieu nous a sauvé, le député nous dit : « Ou partez vous ? »
A peine eurent ont le temps de répondre qu’il nous dit :
« PARTEZ VITE, IL Y UNE BOMBE !!! »
Etonnés nous étions figé sur place. Il nous prit un bon moment afin de décoder le message et puis- nous voila, comme des prisonniers trouvant la liberté , criant a cœur joie « youpi, wai wai !! » nous courons vers la sortie du collège. A moindre ombre d’un autobus vers Curepipe, je me lance. C’était une lutte afin d’y parvenir d’y rentrer. Place debout, nous parlâmes entre potes du bombe.
Le lendemain, nous apprenons que c’était une fausse alerte. Quelqu’un a appelé et a passé la blague et ils ont cru.
Ces événements ont marqués cette année là, mais aussi que mes performances qui ont chutées. J’étais transformé durant cette année,- du timide au vagabond, le nez toujours étiré sur les événements et les opportunités instantanés pour fuir ou faire une bêtise.

Chronologie de ma vie 1997

En forme deux, le souvenir le plus frappant fut, l’adoption de ma personne au sein de groupe de classe. Nous jouons au foot avec un ballon de tennis à l’arrière de l’école, sur du gazon terrassé. Nous avons aussi un jour, moi, Neersoo, et les autres du groupe, saisit Nepal- un gars fribourg, et nous l’avons déshabillé. Brzzz

Chronologie de ma vie 1996

16 Février 1996
Je fus transféré au SSS Quartier Militaire .Elle me paraissait immense quand je la contemplai pour la première fois avec son gymnase hors du commun, ses couloirs interminables. An début c’était difficile pour moi d’intégré la classe. Quand je fus présenté aux élèves, ils étaient en pleine classe de Social studies avec Mme Putty. Mme putty fut l’un des profs qui m’a marqué durant mon adolescence. Je parlerai d’elle ultérieurement. Oui où étais-je ? Oui, Mme putty me dis de m’asseoir devant à cote d’un élève nommer Raoujee. Ce gars là était un vantard. Il se prenait pour le sais tout de la classe. Mais il cessa de l’être après avoir connu mon vrai potentiel plus tard. En classe de forme une, je ne connaissais rien. En maths avec Mme Nundholl, je j’asseyais a l’arrière pour ne pas répondre aux questions de celle –ci. Nundholl aimait parler, de critiquer, de faire croire aux élèves qu’elle avait une fille, qu’elle la mariera avec celui qui sera premier en classe. Bien évidement, elle avait, ses élèves préférées et d’autres qu’elle détestait. Franchement j’essayais de me faire petit pour qu’elle ne me voie pas.
Mon Forme Master s’appelait monsieur Athiana. Il était un homme d’environ 40 ans, court, les cheveux toujours huileux, mais surtout très strict. Il me mettait souvent en retard malgré le fait que j’étais simplement arrivé que 2 minutes en retard. Il était aussi mon prof de Design and Technology, classe que j’aimais bien. D’ailleurs, j’y étais premier. Un autre sujet que je ne comprenais pas ; c’était Design and Communication. Je ne savais pas comment, ils dessinaient les différents objets. En passant j’eus seulement 10 sur 100 points pour le premier trimestre dans ce sujet. Je fus déçu en voyant que j’étais le dernier dans la classe pour le premier trimestre. Mais durant les trimestres suivants, je fus un bond exponentiel.

Chronologie de ma vie 1995

Je fus inscris aux examens du CPE. Je fus classé et on m’inscrit au Mauritius collège à curepipe en janvier 1996 donc je n’aimais pas pour son manque d’espace et pour son aspect trop sévère. Un mois environ soit le février 1996, je fus transféré au Shrimati Indira Gandhi SSS de Quartier Militaire. C’est dans ce collège ou naquis mes meilleurs moments d’adolescents et académiques …

Chronologie de ma vie 1992

En quatrième, un dimanche après midi, je sors sans l’autorisation de ma mère, pour partir chez mon cousin pour jouer aux billes. Je ne savais pas jouer vraiment, mais prétendais que j’étais un pro. Comme on s’y attendait, je perdis toutes mes billes dans le jeu. Mon cousin viraj, ne voulait pas me les retournées. Ainsi pour me faire courir, il grimpa sur un arbre à l’arrière de sa maison. Comme je ne pouvais pas grimper, je le supplier de rendre mes billes. Appuyer contre cet arbre était une plaque de bâton d’une dimension d’environ 1.4 par 0.8 mètres. Sans le savoir, je bougea cette plaque de béton qui devait pesait une tonne. L’inévitable ce produisit. La plaque tomba sur mon pied. Je criai avec toutes mes forces. J’étais coincé sous ce mur de béton. Je souffrais, je pleurais, j’ai du passer environ 5 minutes sous ce mur d’enfer. Mon cousin dépasser par les choses, courut pour appeler sa mère. Damini. Ma tante, qui était de forte corpulence, en me voyant sous ce béton, s’envola à mon secours. Elle ne pouvait pas soulevé la plaque de béton elle-même. Je criais. Finalement, elle parvirent a soulevé la plaque aux strict minimum pour que je puisse retirer mes pieds la dessus. Puis elle reposa la plaque. Je ne pouvais me lever. Elle me prit dans ses bras et m’emporta dans ses bras et emmena dans sa maison. Mon cousin d’entre temps avait appelé ma mère. Quand ma mère arriva, elle me dit de marcher. Elle était désespérée. Elle pleurait. Ne sais quoi faire devant ce drame. Je voyais mon os blanc, ma chair rouge ensanglantée. Ma mère me dis d’essayer de marcher, mais je ne pouvais pas .C’était la fin du monde pour moi. Toute cette souffrance a mon petit age. Même les adultes ne peuvent supporter cela. Alors imaginez –vous. Moi !!! Cinq minutes plus tard, une voiture fut appelée, et on m’y conduisis dedans à l’hôpital. Dehors tout les gens était là. Ils me regardaient inquiet. Malgré ma souffrance, j’esquive une petite sourire pour eux, comme –ci c’étaient mes admirateurs, quelle idée à cet époque la… Brzzz. C’est ainsi que j’eus un pied fracturé et quelques blessures. Je restas un mois a la maison. Le mois suivant je fus contraint de reprendre les classes. A l’école, j’étais l’attraction principale. Le chouchou des grandes filles. Les enfants faisaient attention à moi et m’aidaient pour partir aux toilettes ou m’aider pour descendre ou monter l’escalier. Les années que j’ai passées à l’école, naquirent en moi une formidable passion pour la bicyclette. J’aime bien le vélo. J’en suis un accroc et un fan d’armstrong. Je l‘admire pour son courage et son détermination sur le parcours du tour de France. Mais ma passion pour le vélo me causa beaucoup de problème. J’ai tuée un chien ; je suis tombée plusieurs fois ; j’ai beaucoup dépensé avec mon vélo. Le vélo prit tout mon temps libre. Mon père d’ailleurs m’offrit mon premier vélo quand j’étais en sixième. C’était le bonheur pour moi. Six années plus tard, je l’ai vendu a 500 roupies a un jeune de cite malherbes. Elle était devenue trop petite pur moi.

Chronologie de ma vie 1989

Je rentre à l’école Primaire de Saint Jean Bosco RCA. Elle se trouvait a 600 mètres de ma maison.Le premier jour ce fut pénible pour moi de quitter ma mère parmi ces gens dons je ne connaissais pas. Ni les regards des autres enfants me rassuraient. Ils pleuraient tous sans exception. J’avais l’impression que nous étions comme ces pauvre agneaux qu’on aller tuer. Je dus pleurer un océan ce jour là. Quand j’entrai en troisième mon père Newas me fait prendre des leçons particulières chez une dame qui habitait cité malherbes non loin de Curepipe.Ainsi chaque jeudi après midi, après l’école je me rendis chez elle à pied. Franchement, je n’aimais pas l’école, malgré le fait que j’étais douée. J’aimais rester à la maison avec ma mère. Un jour, je ne voulais pas partir à l’école, donc je prétendais que j’avais un mal de tête. Ma mère qui savait que je ne souffrais pas, me dit de partir à l’école, mais têtu comme une âne, je m’enfermais dans la salle de bain, pour échapper les fesser de ma mère. Mais ma mère qui était très sévère finit par me trouver dans la salle de bain. Ainsi, je sauvais, me réfugié dans l’arrière cour de mon grand père, dans une veille cuisine en tôle abandonnée. Elle était sombre et lugubre. Il y avait des araignées. J’avais peur ; je pleurais car ma mère m’avait frappé. Comme par hasard, mon oncle « Piti » me trouva. Il me consola et m’emmena chez lui. Bien décidé je pensais que j’allais resté chez lui pour toujours. J’étais ravi. Cette pensée me réjouissait intérieurement. Ma tante Damini dit à ma mère que j’étais chez elle et que j’allais rester. Mon plan avait marché. Ce jour là, je ne suis pas allé à l’école. Quel mal je me suis donnée pour ne pas aller !!

Chronologie de ma vie 1988

Quatre ans après, ma mère m’inscrivit dans une école pré primaire. De cet école le souvenir le plus ardant, c’était les fois où tout les élèves chantaient. Ce fut dans cette école où je tissai une amitié avec un autre garçon qui s’appelait Vickram Dooboree. Au fait, nous étions parenté, mais nous ne le savions que plus tard. La maîtresse s’appelait « Miss Labite ». Elle était tantôt sévère, tantôt gentile. Elle nous frappait avec un rotin bazar sur les mains et les fesses.

Saturday, August 12, 2006

Chronologie de ma vie 1984

21 janvier 1984 Je suis née vers 23.55 à l’hôpital Victoria, Candos. Je fut le premier fils de ma famille D’ailleurs je fut le seul fils .D’après ma mère Amita, J’étais un garçon friand, nerveux parfois. Mais ma qualité que les gens aimaient c’était indéniablement mon sens de l’amitié. Fan de bicyclette, je reçois un tricycle rouge avec qui je connais le bonheur, par les moment heureux dont elle me procurait mais sans oublier les souffrances. Ainsi je me rappelle d’avoir coincer mon zizi dans le fauteuil ou ce moment inoubliable quand je fus renversé dans tout les sens quand ma roue de devant passa sur un gros caillou. Cet incident fut le moment décisif, où ma mère me sépara définitivement de mon tricycle rouge, pour le donner ma mon voisin. Je ne vois plus mon tricycle jamais. J’avais aussi des grands talents de bricoleur. Je me souviens comme-ci c’était hier, ou je construisais avec un bout de bâton et le couverte d’un contenu de cire

pour sol, un simple jeu qui m’occupèrent pendant un bon moment, des fois pendant des jours. Ainsi cela donne un peu de repos à ma mère.