Saturday, October 14, 2006

Chronologie de ma vie 1998

Je rentre en forme 3. Cette année là, plusieurs événements passèrent. Je fus victimes de plusieurs retenues après les heures de classes. Le premier, j’écope de 2 samedis matin. Les pions me firent nettoyé les classes et les toilettes.
J’eus ces deux samedis de retenues parce que nous étions pris en fragrant délit de nous sauver du collège. Nous n’aimions pas la classe de Hindi. Mais malheureusement pour nous un pion nous vîmes et il passa immédiatement un avis de recherche en passant le registre dans les classes.
Le deuxième retenu, que j’eus, c’était pas mérité du tout, j’étais innocent. Les autres avaient jeté un morceau de papier sur Athiana par la fenêtre depuis la classe de Art du troisième étage et immédiatement ils se sont sauvés. Sans me soucier du coup, j’étais près de la fenêtre par hasard et Mons Athiana me vit du bas croyant que c’était moi. C’est ainsi que je fus pris.
Durant cette année la même, C’était un mercredi après midi vers les treize heures. Comme d’habitude, nous étions sauvés de la classe de hindi. Comme nous nous efforcions de trouver un refuge de gauche à droite ; nous courons dans tout les sens cherchant une classe libre pour nous cachés. Mais en descendant l’escalier a vive allure, nous tombons sur qui … devinez ? Et bien, nous tombons tous nez à nez avec le Député Directeur du collège – un vrai dur !!!
Nous étions stupéfait. Ne sachant quoi faire. Cette fois nous nous sommes vraiment fait prendre. C’était parait- t-il la fin. Mais ne sachant de quel Dieu nous a sauvé, le député nous dit : « Ou partez vous ? »
A peine eurent ont le temps de répondre qu’il nous dit :
« PARTEZ VITE, IL Y UNE BOMBE !!! »
Etonnés nous étions figé sur place. Il nous prit un bon moment afin de décoder le message et puis- nous voila, comme des prisonniers trouvant la liberté , criant a cœur joie « youpi, wai wai !! » nous courons vers la sortie du collège. A moindre ombre d’un autobus vers Curepipe, je me lance. C’était une lutte afin d’y parvenir d’y rentrer. Place debout, nous parlâmes entre potes du bombe.
Le lendemain, nous apprenons que c’était une fausse alerte. Quelqu’un a appelé et a passé la blague et ils ont cru.
Ces événements ont marqués cette année là, mais aussi que mes performances qui ont chutées. J’étais transformé durant cette année,- du timide au vagabond, le nez toujours étiré sur les événements et les opportunités instantanés pour fuir ou faire une bêtise.

0 Comments:

Post a Comment

<< Home